Alors que la France est aux prises avec ses chômeurs, sa dette et son Hollande – dit « le boulet » –, la cour royale d’Angleterre doit faire face, elle aussi, à un problème d’une extrême gravité, à savoir : les fesses de Kate Middleton. Une partie de celles-ci est en photo à la une de la presse people allemande… C’est plus que la reine ne peut en supporter. Rafale de vent ou pas, robe soulevée par inadvertance ou exprès, Buckingham ne veut pas le savoir. Miss Kate aura désormais un garde du corps spécialement missionné pour parer à ce genre de mésaventure. Une sorte de garde-fesses, si vous préférez. Au diable l’avarice, on dépensera ce qu’il faut, mais l’arrière-train de la belle-fille restera classé « secret défense ». Allez savoir s’il n’y a pas tatoué là-dessus les codes de déclenchement de l’arme nucléaire ? La recette du pudding de Noël ? L’adresse personnelle d’Edward Snowden ? Allez… Cachez-moi ça…
Qu’aurait fait le boulet face à une telle crise ? On n’ose imaginer… D’abord, est-ce par mesure d’économie que Kate Middleton ne porte pas de culotte ? Engager à grands frais un cerbère anti-fesse alors qu’il suffisait de faire l’emplette d’un lot de caleçons dans le Monoprix le plus proche… Où la reine a-t-elle la tête ? Notre boulet à nous aurait eu l’idée de faire installer un brise-vue façon jardinet de banlieue… Une palissade de voyage, légère, rustique… Le fessier entouré d’une telle protection eût placé la cour hors de toute atteinte à son honneur familial. Face à de tels problèmes, la reine se doit de faire appel à un vrai professionnel. Arrivée en scooter, examen du problème et solution en 30 minutes chrono. La solidarité européenne doit jouer.
La question des fesses résolue, reste l’éventuel cliché des seins royaux alors que la jeune femme se pencherait pour ramasser la boîte de Viagra de son mari. Nouveau casse-tête. On renvoie le boulet. L’affaire n’est pas simple. La reine aux abois, déclenchement du plan Vigipirate. Deux gardes – un par sein – en faction permanente de chaque côté de cette Middleton qui commence à nous les briser sévère. Alors que la presse du monde entier se serait damnée pour un genou d’Élisabeth II, nous voilà rendus avec une future monarque quasi à poil sur les tarmacs d’aéroport. Une histoire à nous foutre Clara Morgane au chomedu. Une de plus. Ah non. Cette fois-ci, the boulet ne marche plus. « I don’t walk in this combine », déclare-t-il dans un anglais révisé corrézien. Il rend son tablier. Ne mange pas de ce pain-là. Coopération européenne d’accord, mais intérêt de la France avant tout. Oh la la…
Les fesses de Kate Middleton nous laissent l’encéphalogramme plat. À l’inverse de sa robe qui remonte, plus que jamais se pose la question : jusqu’où va-t-on descendre ?
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